Introduction
Fait intéressant : Saviez-vous que le GIEC, l’organisme qui a commencé ‘l’histoire du CO2 et du réchauffement climatique en 1988’, est une initiative de l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) ? Ce projet est financé en grande partie, directement et indirectement, par des banques !
Pendant mes études, j’étais président d’une petite section au sein du grand réseau international étudiant AEGEE. Grâce à ce rôle, j’ai visité presque tous les pays européens, me suis fait de nombreux amis et ai visité plusieurs universités. À l’époque, le changement climatique n’était pas vraiment un sujet sur lequel je me concentrais, mais dans les années 90, il est devenu de plus en plus présent dans les médias.
À cette époque, lors de nombreuses conversations, j’entendais parfois, dans les murs de différentes universités, des critiques affirmant que toute l’histoire du CO2 était tout simplement incorrecte. Je n’ai jamais vraiment prêté attention à ces critiques, bien que je ne comprenne pas pourquoi elles étaient évoquées alors que les médias mainstream les présentaient depuis longtemps comme une vérité absolue.
Aujourd’hui, le « changement climatique » est l’un des sujets les plus discutés dans le monde et il implique énormément d’argent. Les gouvernements déterminent maintenant quels appareils vous pouvez acheter, quelles améliorations vous devez apporter à votre maison, quelles voitures vous êtes autorisé à conduire, et bien plus encore. Cela montre que les gouvernements ont maintenant une influence plus grande sur notre vie individuelle que jamais auparavant dans l’histoire humaine. Cette situation est avantageuse pour les entreprises puisque le changement climatique est devenu l’un des plus grands secteurs, générant des milliards d’euros pour de nombreuses entreprises.
Pré-conclusion : En tant qu’humains, nous pouvons certainement prendre mieux soin de notre planète, mais si nous examinons les faits concernant l’histoire du CO2, le contrôle étatique et les milliards en jeu, cela s’inscrit parfaitement dans le cadre de la grande réinitialisation. Que cela soit une coïncidence ou non, c’est à vous de décider.
Regardez ce documentaire aujourd’hui et voyez comment des scientifiques éminents des universités les plus prestigieuses, un lauréat du prix Nobel, et même le cofondateur de Greenpeace, estiment que la vérité est plus importante que leur carrière (souvent) bien rémunérée et s’expriment ouvertement avec des faits et des données réelles.
Table of Contents
Climat : Le Film
« Climate: The Movie » est une nouvelle documentaire provocante du cinéaste britannique Martin Durkin. Le film soutient que l’affirmation d’un changement climatique causé par le CO2 est une histoire de peur sans base scientifique. Intitulé « Climate: The Movie », le film affirme que la science et les mesures officielles ne soutiennent pas les affirmations concernant l’augmentation des conditions météorologiques extrêmes. La documentaire inclut des interviews avec des scientifiques éminents tels que Steven Koonin, Dick Lindzen, Will Happer, John Clauser et Nir Shaviv. Le film a été tourné à travers le monde et présente des images des États-Unis, du Canada, d’Israël, du Kenya et du Royaume-Uni. Le film est disponible, entre autres, sur le site de la fondation Climate Intelligence.
Les niveaux actuels de CO2 sont historiquement bas.
Durkin affirme que les températures actuelles et les niveaux de CO2, comparés à l’histoire géologique de la Terre, sont extrêmement bas. En fait, selon le film, nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Le film soutient également qu’il n’existe aucune preuve que les variations des niveaux de CO2 dans le passé aient jamais causé un changement climatique. C’est la froide vérité selon les recherches scientifiques, notamment celles de William Happer, professeur à l’Université de Princeton.
Le changement climatique comme arme politique et financière.
Mais pourquoi nous dit-on constamment que le changement climatique causé par l’homme est un fait indéniable ? Le film examine les intérêts derrière le récit climatique et suggère qu’il existe un énorme enjeu financier et politique à maintenir l’affirmation d’une catastrophe climatique imminente. Selon le film, les scientifiques qui contestent cette affirmation font face à l’intimidation et à la perte de financement.
Le film soulève des questions importantes sur la science et la politique derrière le récit climatique. Existe-t-il vraiment un consensus scientifique sur les causes du changement climatique ? Ou sommes-nous manipulés par un puissant lobby ayant un agenda ? « Climat : Le Film » est un incontournable pour quiconque souhaite en savoir plus sur l’autre côté du débat climatique.
Points importants du film « Climat : Le Film »
- Le film affirme qu’il n’y a pas de preuve scientifique soutenant l’idée que l’homme et le CO2 sont les causes du changement climatique.
- Les températures actuelles et les niveaux de CO2 sont extrêmement bas comparés à l’histoire géologique de la Terre.
- Il existe un grand intérêt financier et politique à maintenir l’affirmation d’une catastrophe climatique imminente afin de faire avancer un agenda politique.
- Les scientifiques qui contestent l’affirmation d’un changement climatique causé par l’homme sont confrontés à l’intimidation et à la perte de financement.
Le film est controversé et suscitera sans doute des critiques de la part des partisans de la théorie du changement climatique causé par l’homme. Cependant, il représente une voix importante dans le débat et mérite d’être vu et discuté.
De plus, le débat sur le climat joue un rôle crucial dans des initiatives telles que l’Agenda 2030, le Grand Reset, les décisions d’investissement, et même la politique monétaire au niveau de la BCE. Peut-être est-ce aussi un narratif pour rendre défendable la Grande Appropriation ?
Le consensus sur la science du climat est-il une pseudoscience ?
En outre, le débat sur le climat remet également en question la science sur la base de modèles statiques. Cependant, la plupart des climatologues sont plus intéressés par leurs modèles que par les mesures réelles. Ces modèles, qui ont été établis il y a 30 ans avec l’hypothèse que « le réchauffement de la planète est causé par l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère (CO2) », ont ensuite créé un modèle théorique qui confirme leur assertion. Cela est considéré comme un péché capital en science. Dans la vraie science, le modus operandi est l’opposé. La fondation Climate Intelligence critique cette approche.
Le film, disponible avec sous-titres français ici.
Ce récit est un spectacle magnifique mais tragique. Convainquons la population du rôle crucial du CO2 en tant que coupable ultime, et encourageons-les à agir. Plus la masse croit en notre message, plus nous, en tant que puissants banquiers qui contrôlons les gouvernements, pouvons exercer notre influence en tant que chefs d’orchestre de la vie sur cette planète. Ainsi, nous pouvons faire avancer nos intérêts et accumuler d’importants profits. À chaque cri fort des activistes climatiques, nous accumulons plus de pouvoir et de contrôle, étendant ainsi notre domination. C’est une forme raffinée de démocratie communiste, où l’apparence de participation et d’égalité n’est qu’une façade pour notre véritable agenda.
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